Au secours !! J'ai un crack dans mon équipe?

Vous pensez que c'est qu'un avantage. Mais saurez-vous aider ces fortes personnalités à s'intégrer ?

On a du mal à le croire, mais ces 1er de classe sont difficiles à gérer. Jalousés ou craints par le reste de l'équipe, ils peuvent très vite se retrouver isolés. Et surtout le manager doit se garder de tous favoritisme au risque de plomber l'ambiance et les performances du service. Autre inconvénient, ces élites s'ennuieront et quitteront le navire. Pour éviter cela, il est indispensable de reconnaître leur talent à sa juste valeur et de bien cerner leur personnalité. Certains experts distinguent 4 familles de grands potentiels associé à une bestiaire : les mustangs, les phacochères, les marsouins, les condors.

Pour les mustangs

Il désigne des collaborateurs plutôt jeunes et ambitieux, auquel tous semble réussir. Ils sont rapide et n'ont pas encore connu d'échec. D'où un ego souvent sur-dimensionné. Ils se croient invulnérable. À force d'aller trop vite, ils peuvent s'emballer et commettre des erreurs, à l'instar de ces jeunes traders qui font prendre des risques démesurés à leur société.

Pour les phacochères

Tous comme les mustangs, ils sont fonceurs, sur d'eux et rapide. Mais bousculant tout sur leur passage, ils suscitent en outre la crainte ou l'animosité chez les autres collaborateurs. Et ce d'autant plus qu'ils sont rétifs au travail en équipe et se montrent volontiers méprisants. Ce sont des profils plutôt murs et expérimentés.

Pour les marsouins

Plus souple que les mustangs ou les phacochères, ils conjuguent un haut niveau de performances avec un comportement plutôt positif. Ils font preuve d'empathie, communiquent facilement et n'écrasent pas les autres. Mais attention, ces personnalités sont sensibles et leur exigence morale est élevé. La moindre faiblesse de leur manager (manque de respect, travail non reconnu) les démotivera.

Pour les condors

Crack parmi les crak, ce sont de vrais leaders. Nettement au-dessus de la mêlée, ces profils de haut vol sont admirés et respectés dans l'équipe. Ils ont de l'expérience et feront un jour merveille à des postes de direction. Pour gérer un collaborateur de cette trempe, seule les très bons managers, sur d'eux-mêmes, peuvent accepter ce genre de situation, C'est ce qu'on fait Bill Gate ou Barack Obama quand ils ont recruté leur lieutenant.

Voilà, j'espère que cette petite analyse vous aidera. Maintenant à vous de savoir comment les gérer. J'ai bien ma petite idée.